Quoi de mieux pour ravir les papilles de tes proches qu’une savoureuse gibelotte de lapin, une recette ancestrale de la cuisine française qui a toujours su trouver sa place au cœur de nos repas en famille ? Aujourd’hui, je te propose ma version inratable et simplissime de ce plat réconfortant. À la maison, c’est un véritable succès à chaque fois et je suis certaine que tu rencontreras le même enthousiasme autour de ta table. Personnellement, j’adore servir cette gibelotte avec des gnocchis maison pour un repas complet, mais elle est également exquise accompagnée de Spaëtzles Tupperware pour une touche originale.
Ingrédients pour 6 personnes
- Un beau lapin fermier bio (demandez à votre boucher de le découper en morceaux).
- 2 grosses échalotes
- 250 gr de champignons de Paris
- Un peu de fleur de sel
- 2 feuilles de laurier
- 1/2 de litre de bouillon froid
- 20 cl de vin blanc sec
- 2 CS gr de farine
- Beurre (ou ghee) et huile d’olive
- poivre du moulin
Etapes de la recette du gibelotte de lapin
- Dans ta cocotte en fonte, fais fondre le beurre avec un filet d’huile d’olive. Lorsque le mélange prend une belle couleur dorée, fais revenir les morceaux de lapin sur toutes leurs faces jusqu’à obtenir une coloration uniforme et appétissante. Réserve les morceaux.
- Ajoute les échalotes finement hachées dans la cocotte. Sale et poivre généreusement, puis saupoudre avec la farine. Laisse cuire le tout pendant environ 3 minutes.
- Incorpore ensuite délicatement le vin blanc, le bouillon froid, les feuilles de laurier et les champignons préalablement nettoyés et coupés. Remue doucement l’ensemble pour bien mélanger les saveurs.
- Remets les morceaux de lapin dans la cocotte, ajuste l’assaisonnement si nécessaire et laisse mijoter doucement pendant environ 1 heure. Le lapin doit être parfaitement tendre. Si tu remarques que la sauce réduit trop vite, n’hésite pas à ajouter un peu d’eau.
Peut-on faire cette recette avec une autre viande ?
Absolument, cette recette est assez versatile pour être adaptée avec différentes sortes de viandes. Si tu n’es pas fan de lapin ou si tu cherches simplement à varier, tu peux opter pour du poulet ou même du veau qui se prêteraient bien à la texture et aux saveurs de la sauce. Les temps de cuisson peuvent légèrement varier selon la viande choisie, donc assure-toi de vérifier la cuisson pour obtenir une viande tendre et juteuse.
Quelles sont les erreurs courantes à éviter lors de la préparation de la gibelotte de lapin ?
- Ne pas faire dorer les morceaux de viande : L’étape où l’on fait revenir les morceaux jusqu’à obtenir une belle coloration est cruciale. Elle permet non seulement d’ajouter de la profondeur au goût mais aussi de sceller les jus dans la viande.
- Saler trop tôt ou trop : Il est important d’ajuster le sel après avoir ajouté le bouillon, surtout si ce dernier est déjà assaisonné. Goûte toujours ta sauce avant d’ajuster l’assaisonnement.
- Feu trop fort pendant le mijotage : La gibelotte doit mijoter doucement. Un feu trop fort peut entraîner une réduction rapide de la sauce et risque de dessécher la viande.
- Oublier d’ajouter des liquides si nécessaire : Selon le couvercle utilisé et l’intensité du feu, il se peut que la sauce réduise trop vite. N’hésite pas à ajouter un peu d’eau ou de bouillon pour maintenir un bon niveau de liquide.
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La gibelotte de lapin est sans aucun doute un plat familial par excellence qui séduira tous tes convives par sa tendresse et ses arômes subtils. Facile à réaliser et inratable avec mes conseils, elle promet un moment convivial et chaleureux autour d’un bon repas.
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A Propos
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j’adore le lapin !
Ça tombe bien 😉
je t’avouerai que je n’en ai encore jamais mangé, mais je suis sûre que ton lapin est délicieux !!
Il faut que tu goûte la viande est très fine et tendre
Je ne mange pas de lapin, mais là ça donne envie de faire une exception, c’est super appétissant
si ça t’interesse sur mon blog y a un concours sur les recettes de fêtes 😉
http://tizicooks.blogspot.fr/2013/11/concours-2-ans-de-tizi-cooks-votre.html
Je suis surprise de ton utilisation du terme « gibelotte »… Je croyais que c’était un mot de chez-nous (Québec). Il désigne un plat de poisson d’une certaine région, mais est surtout utilisé de façon péjorative, pour parler d’un mélange louche, en bouillie, et peu appétissant! Ta recette semble délicieuse et ne ressemble donc pas à une gibelotte québécoise!
Et bien moi je suis surprise de la version québécoise que je découvre également.